Bon, il s’agit de germes, de virus ou…de bactéries qui peuvent se glisser « entre les touches » du clavier et d’un dispositif très astucieux, particulièrement adapté aux secteurs où l’asepsie est de mise. Vioguard ™ LLC annonce, au 4 janvier que l’Agence américaine, Food & Drug Administration vient de donner son autorisation à son clavier d’ordinateur Vioguard auto-désinfectant, pour une utilisation en milieu hospitalier.

Ce clavier utilise les propriétés germicides de la lumière ultraviolette (UV-C) pour nettoyer automatiquement ses surfaces. UV-C est un tueur avéré de virus grippal, le SARM et d’autres virus nuisibles et les microbes.

Il a été développé spécifiquement pour répondre au besoin d’asepsie en milieu de soins. Objectif, régler tout problème de contamination croisée liée à des postes de travail partagés. Evaluation, l’efficacité du clavier a donné lieu à un essai clinique publiée dans l’American Journal of Infection Control, en décembre dernier.

Un agent efficace contre les infections nosocomiales : L’objet, au demeurant très design, contribue à la lutte contre les infections nosocomiales, les claviers d’ordinateur ayant été identifiés comme une ruche de transmission de virus et de bactéries, en particulier en milieu médical. Le clavier Vioguard pourrait en évitant les infections, réduire aussi les coûts du travail.

Comment ça marche ? Le rayonnement ultraviolet est utilisé depuis longtemps pour la stérilisation et contre les microorganismes. Les microbes sont particulièrement vulnérables aux effets des rayons UV sur des longueurs d’onde spécifiques qui contiennent juste la bonne quantité d’énergie pour briser les liaisons moléculaires organiques. Vioguard a montré que la lumière ultraviolette générée par 2 lampes fluorescentes de 25 watts « germicides » supprime 99,99% des bactéries et des virus dangereux, dont E. coli, le SARM et d’autres pathogènes.

Et en termes d’utilisation? Le clavier a l’apparence et le même toucher qu’un clavier d’ordinateur portable standard, et ne nécessite aucun logiciel ou matériel spécial pour fonctionner. Un microprocesseur puissant contrôle de l’exposition aux UV, le fonctionnement du capteur, et surveille interrupteurs de sécurité et de l’état de la lampe. Le clavier se rétracte automatiquement dans son abri étanche, est inondé d’UV germicides et s’ouvre automatiquement d’un simple signe de la main. Désinfecté.

Le clavier a une touche

D’aucuns envisageaient la tablette numérique comme une solution intégrale. Ils se trompaient. Désormais, les consommateurs désirent des modèles de taille respectable pouvant accueillir clavier.
Asus savait-il, en commercialisant son EEEPad Transformer, qu’il allait révolutionner l’univers des tablettes numériques ? En offrant au public un modèle pouvant s’arrimer sur un clavier physique, le constructeur taïwanais étendait plus encore le potentiel modulable de ces outils technologiques. Plus pratique à utiliser, la tablette adopte ainsi des airs de mini-ordinateur portable tout en conservant son caractère nomade. Porteur, ce concept fait des émules, et Asus est aujourd’hui imité par la concurrence. La récente enquête de NPD Group, spécialiste de l’étude de marché, corrobore d’ailleurs cet engouement : 40 % des personnes interrogées souhaitent la présence d’un clavier sur leur tablette. Dans l’attente d’une réelle démocratisation de telles solutions intégrées, les claviers autonomes sortent donc en série pour combler cette demande. Microsoft est ainsi entré en scène avec son modèle Bluetooth Mobile Keyboard 5000.

  105 touches de classicisme

Un clavier complet mais de taille réduite, une connexion sans fil, une adaptation aux solutions Windows aussi bien que Mac, l’ennemi juré, voilà ce que propose la firme de Redmond. En somme, du polyvalent et, surtout, du fonctionnel. L’accessoire répond en fait aux normes du moment. Doté de 105 touches, il s’avère de petites dimensions (35,5 cm de large sur 16,7 de long), très mince (1,59 cm) et évidemment poids plume (415 g), caractéristiques permettant de facilement l’emporter. Sa forme incurvée évoque certains claviers de bureaux high-tech, arqués de la sorte pour tomber naturellement sous les poignets et ainsi offrir un réel confort au cours de la frappe. Démuni de pavé numérique, il l’est pareillement de fil. Il se connecte au central via la technologie Bluetooth, ce qui autorise un large appareillage avec la plupart des systèmes d’exploitation dominants, cette connexion fonctionnant aussi bien avec Microsoft qu’avec Apple (mais pas  avec toutes les versions d’Android). Deux piles alcalines assurent l’alimentation de ce périphérique, qui dispose d’un interrupteur marche/arrêt. Garanti 3 ans, il est disponible à partir d’une quarantaine d’euros.

La gamme Arc de Microsoft comprend actuellement deux membres : une souris et un clavier, tous deux sans fil. Tous deux bénéficient d’une forme très particulière : un arc. L’année dernière, j’avais eu l’occasion d’essayer cette souris et elle m’avait conquis. J’en avais d’ailleurs profité pour donner mes premières impressions sur mon blog personnel. Après un bref rappel, je passerai au produit qui nous intéresse aujourd’hui : le clavier Arc.

Sa forme originale n’enlève rien à son ergonomie, bien contraire. Petit plus, elle se replie facilement, ce qui facilite son transport et le récepteur, aimanté, vient se loger sous la souris dans un emplacement prévu à cet effet. Avec cette souris, Microsoft cible avant tout les utilisateurs d’ordinateurs portables. Sous Windows 7 et Vista, il suffit de brancher le petit récepteur USB pour l’utiliser de suite. Qu’en est-il de ce nouveau clavier ?

Soyez rassurés, l’installation de ce clavier est aussi simple que celle de la souris. Qu’il s’agisse de Windows 7 ou Vista, ou même Mac OS X et Linux, le clavier est reconnu et utilisable sans configuration particulière. Je n’ai donc même pas parcouru le contenu du CD fourni dans la boîte.

Si le récepteur de la souris Arc était déjà petit, on peut qualifier celui du clavier de minuscule : seule la partie noire dépasse de la machine. Comme pour la souris, il vient se placer sous le clavier. La souris et le clavier faisant partie de la même gamme d’une même marque, j’ai pensé qu’il suffirait d’un seul récepteur pour les deux. Malheureusement cela ne fonctionne pas et c’est plutôt logique : il n’y a pas de bouton sur le récepteur et les périphériques pour démarrer une association. Tant pis, il faut posséder deux ports USB libres pour profiter du clavier et de la souris.

Alors que la souris peut compléter le dispositif de pointage d’un ordinateur portable, le positionnement du clavier est moins clair. En effet, ce clavier dépourvu de pavé numérique et à peu près aussi large que celui d’un MacBook Pro aura bien du mal à remplacer le clavier d’un ordinateur portable de 14 pouces et plus. A quel usage se destine donc ce périphérique ? A mon avis, il pourra être utile aux possesseurs d’un PC Media Center branché sur une télévision, ou encore d’une console de jeux. Je l’ai testé sur une Playstation 3, et il n’y a pas de raison qu’il ne fonctionne pas sur la Xbox 360.

En résumé, si vous cherchez un clavier à utiliser devant la télévision ou sur un bureau trop encombré ou trop étroit pour accueillir un vrai clavier de bureau, ce clavier peut être fait pour vous. Si vous aimez le design de la gamme Arc mais que le clavier ne vous sera d’aucune utilité, il reste la souris.

Avez-vous déjà essayé un de ces produits ? Si oui, qu’en avez-vous pensé ?

Si on a pris l’habitude des claviers Bluetooth transformant l’iPad en ordinateur portable, iHome prend tout le monde de revers avec l’iDM5. Il s’agit bien d’un clavier destiné à la tablette d’Apple, mais ce périphérique d’1,5 kg n’a pas réellement vocation à être transporté. Il sera plus à son aise sur un coin de bureau où il servira à taper du texte sur un iPad, voire un iPhone ou un iPod touch.

Outre sa fonction « traitement de texte », l’iDM5 offre des haut-parleurs grâce auxquels on pourra écouter la musique de son appareil iOS, un port audio ainsi qu’une paire de ports USB pour la recharge et la synchronisation. Le tout est proposé à 130$.

Il est possible de nettoyer rapidement le clavier d’un ordinateur en appliquant quelques astuces pratiques.

La méthode la plus simple pour nettoyer le clavier d’un ordinateur ne requiert pas beaucoup de matériel. Il suffit de disposer d’un pinceau, d’un chiffon sec et d’un tournevis. Commencer par éteindre l’ordinateur et débrancher le clavier. Éliminer les grosses saletés en retournant le clavier et en le secouant délicatement. Souffler sur le clavier en dégageant de l’air avec la bouche pour viser les endroits entre les touches et en dessous des touches pour pouvoir ainsi éliminer les poussières qui persistent. Continuer le nettoyage en décapant les saletés qui collent sur le clavier. Pour les claviers blancs qui laissent visibles les taches, ne pas hésiter à frotter délicatement avec un chiffon humide. Le travail pourrait être moins intensif avec un clavier noir qui laisse moins apparaître les taches de saletés sauf les poussières. La dernière étape ne concerne que les claviers qui sont très sales ou qui ont un problème de fonctionnement. Nettoyer en profondeur en soulevant chaque touche avec le tournevis pour la déloger. Pour cette opération, il est recommandé de procéder le nettoyage de chaque touche une à une pour éviter les confusions. Pour ce faire, soulever une touche, nettoyer et replacer directement avant de soulever une autre.

Pour nettoyer en profondeur le clavier d’un ordinateur, il faut disposer de matériels de base notamment d’une bombe de gaz sec comprimé, d’un aspirateur, de cotons-tiges et de l’alcool à brûler. Avant de commencer le travail, s’assurer que l’ordinateur est éteint et la prise d’alimentation est débranchée. Ensuite, déconnecter le clavier de l’unité centrale. Commencer toujours par éliminer les saletés à l’horizon en retournant le clavier et en le secouant. Lorsque la totalité des saletés s’est échappée, continuer le nettoyage en utilisant le gaz sec comprimé. Expulser les poussières entre les touches en vaporisant le gaz sur les parties ciblées en utilisant la paille. Finaliser le nettoyage en utilisant le pinceau ou le coton-tige sec pour enlever les restes de poussières. Pour enlever les traces noires, plonger un coton-tige dans de l’alcool à brûler et frotter la partie concernée. Veiller à ne pas trop imbiber ce dernier d’alcool sous peine de laisser couler le liquide entre les touches du clavier. Ceux qui ne disposent pas de gaz sec comprimé peuvent utiliser un aspirateur. Cependant, il doit être réglé avec une puissance minimale afin de ne pas détériorer le clavier. Procéder de même pour un ordinateur portable en utilisant un aspirateur de poussière pour nettoyer les touches. Utiliser des lingettes non-alcooliques pour nettoyer la surface du touchpad.

La méthode du technicien pour nettoyer le clavier d’un ordinateur est utilisé pour un nettoyage complet. Les matériels nécessaires sont composés d’un couteau à bout arrondi, de l’eau, du liquide vaisselle et un chiffon sec. La technique consiste à démonter les touches du clavier d’un ordinateur de bureau. Utiliser le couteau à bout arrondi pour soulever le coin des touches. Ce travail doit être effectué avec délicatesse de manière à ne pas endommager les touches et surtout les encoches qui retiennent chaque touche. Cependant, certaines catégories de touches de grande taille comme la barre d’espace ou les touches majuscules sont retenues par des ressorts. La plus difficile à retirer est la barre d’espace qui est retenue par plusieurs pièces métalliques ainsi que des ressorts. Ce sont des pièces qu’il faut bien garder et qui sont indispensables pour le remontage. Laver ensuite l’ensemble des touches en les laissant pendant quelques heures dans de l’eau tiède savonneuse. Brosser de temps à autre pour intensifier le nettoyage. En attendant, nettoyer la partie visible de la base du clavier à l’aide d’un linge humide bien essoré. La partie non visible normalement cachée par les touches est plus délicate à nettoyer. Enlever délicatement les débris à l’aide du couteau. Dans tous les cas, éviter de démonter la base du clavier au risque de détériorer le fonctionnement de l’ordinateur. Rincer les touches avec de l’eau, ensuite avec de l’eau vive et laisser sécher sur un linge sec. Procéder au remontage lorsque les touches sont bien sèches. Replacer délicatement chaque touche en évitant de frapper pour les enfoncer. Le remontage doit commencer par les touches extérieures en progressant vers l’intérieur.

Nettoyer régulièrement son clavier pour une utilisation durable

Les méthodes pour nettoyer le clavier d’un ordinateur sont faciles à appliquer. Cependant, il est recommandé d’entretenir régulièrement ce matériel une fois par mois. On évite ainsi de procéder au grand nettoyage qui nécessite le démontage fréquent du clavier.